أقدمت مساء الثلاثاء 11 يوليوز 2009 مجموعة المكتب الشريف للفسفاط   على توقيف 850 عامل    من عمال مناجم الفسفاط بالمغرب  ــ  سميسي ريجي ــ  خريبكة ... داست حقوقهم الاقتصادية  و الاجتماعية بشكل همجي ... طردتهم  ومنعتهم من ولوج أوراشها  رغم أنهم قضوا في الإنتاج والمعالجة معها   أكثر من ثمان سنوات ... ساهموا بشكل كبير في  الرفع من الإنتاجية والتنافسية التي بدأت تتميز بها هذه المجموعة  ....وكان الجزاء هو الطرد  والتسريح بالجملة ...عائلات شردت بكاملها وتركت لمصيرها عرضة للضياع ... وأخرى أصبحت من دون مورد للرزق ... وأخيرة في العراء  وأطفالها  من دون حليب.....إنهم يواجهون وضعا صعبا يقتضي من كل الضمائر الحية بالداخل والخارج الالتفات إليها.. ... فلنطالب جميعا بل نناضل إلى جانب هؤلاء العمال وعائلاتهم من أجـــــل عودتهم إلى  مناصبهم من دون قيد أو شرط ... من أجـــــل احترام الحقوق النقابية داخل الشركة الشريفة للفسفاط  وكل فروعها .... من أجـــــل الإفراج عن المعتقلين وإلغاء محاكماتهم ..

vendredi 4 juin 2010

SIT IN au consulat du Maroc à Algeciras en solidarité avec les luttes du peuple marocain



Sit-in au consulat du Maroc à Algeciras en solidarité avec les luttes du peuple ma rocain


Marchas a Madrid : Concentración en Algeciras (7 mayo)
CGT Campo de Gibraltar | 2010-05-07 20:30:27

Como inicio de las marchas en el Campo de Gibraltar han llevado a cabo una
concentración ante el Consulado de Marruecos para denunciar la represión
sindical y social que se sufre en ese país vecino y en solidaridad con LOS
850 DESPEDIDOS DE SMESI REGIE Y CON LOS/AS COMPAÑEROS/AS DE LA ANDCM

Los que sigue es el comunicado de la Concentración e imágenes de la misma.

Represión sindical y social en Marruecos.

CGT lleva años denunciando actuaciones de los poderes públicos marroquís
contra las trabajadoras y trabajadores de ese país.

La represión de las manifestaciones, encarcelamientos ilegales, presiones
domiciliarias y todo un conjunto de medidas burocráticas que persiguen
acallar la voz de obreras, obreros y familiares.

Hasta tanto las clases dirigentes del vecino país no acometan una reforma
política y social en profundidad que garanticen los derechos humanos entre
los que se consagra la Libertad de Expresión, la Unión Europea no puede
darle un trato preferente en materia económica y de cooperación.

Muchos recursos de la sociedad española se emplean en ambos campos sin que
se exija al gobierno marroquí que respete la mencionada carta de los
derechos humanos con sus gentes.

Se prohiben manifestaciones y la represión de las mismas está produciendo
el continuo procesamiento y encarcelamiento de quienes ejercen su derecho
a expresarse. A esto hay que añadir la represión de la prensa
independiente con continuos cierres de periódicos, procesamiento y
encarcelamiento de periodistas, etc.

Desde la Confederación General del Trabajo (C.G.T.) queremos transmitir a
la opinión pública y gobierno de España, así como al gobierno de Marruecos
nuestra preocupación por la situación en general y la de las personas
represaliadas en particular. Somos conscientes que Marruecos tiene fuertes
relaciones con la Comunidad Europea y ha suscrito numerosos tratados
internacionales en materia de Derechos Humanos. Por este motivo nos
resultan extraños estos sucesos en los que aflora cierto descuido en lo
referente a derechos tan elementales como la libertad de expresión.

Por todo lo expuesto anteriormente desde la Confederación General del
Trabajo (C.G.T.) nos dirigimos al gobierno Marroquí para pedirle :

El cese de la represión contra las manifestaciones populares y la puesta
en libertad de todos los detenidos a causa de estas manifestaciones. El
respeto a las libertades de asociación, expresión y manifestación.

CGT Campo de Gibraltar


فرع سيدي بنور: حضور تضامني مع عمال سميسي بخريبكة


فرع سيدي بنور-للاتحاد المغربي للشغل - في تظاهرة العيد الأممي للطبقة العاملة بخريبكة، يعبرعن تضامنه لعمال سميسي ريجي .
مزيدا من الدعم لمعركة العمال بخريبكة.


jeudi 3 juin 2010

Communiqué SMESI / APPEL A LA SOLIDARITE pour les incarcérés du 22 aril 2010

------- Appel a SOLIDARITé pour les incarcérés du 22
avril 2010 ..


Lassés डी'être surexploités sans droits depuis des années, 850 ouvriers CDD
travaillant à l?entreprise SMESI Régie filiale attachée à l?Office
Chérifienne des Phosphates de Khouribga, ont décidé de briser le silence
dictatorial qui règne dans l'usine et de prendre la parole sur les
conditions de travail auxquelles ils sont soumis, et a fin de mieux
s'organiser , ils se sont accordés à créer leur propre bureau syndical au
sein de l?Union Marocaine du Travail pour faire valoir leur droit
légitimes auprès de la Direction.

Cette décision n?était pas du goût du patron, hostile à la présence du
syndicat au sein de son entreprise et à l?embauche des ouvriers. Sans
tarder, il les a manu militari licenciés tous en violation flagrante du
code du travail. Un coup dur pour ces 850 ouvriers qui les contraint au
chômage et condamne leurs familles à l?exclusion et la faim ! Cependant,
les ouvriers toujours fermement attachés à leurs droits, ont décidé de
mener le combat coude à coude dans le terrain, et jusqu?au bout pour
exiger du patron leur réintégration et le reconnaissance leur droits
syndicaux.

Après un long périple de résistance intensive marqué par plusieurs marches
de protestation dans les chef lieux de la ville et par plusieurs sit in
devant le siège de l?OCP (Casablanca) , le Ministère de l?Energie et des
Mines, et le parlement (Rabat), les ouvriers ont procédé le 22 Avril, à
l?occupation de l?usine de séchage du phosphate de Beni Idir . Le même
jour, une marche populaire pacifique se dirige sous la banderole de
l?Union Marocaine du Travail vers le siège de la direction locale. Le
cortège comptait pas moins de 3.000 manifestants; ouvriers et membres de
leurs familles, en plus de nombreux sympathisants de leur cause. Les
forces de l'ordre ont intervenues de force en utilisant des bombes
lacrymogènes pour disperser cette manifestation, ce qui a dégénéré en
affrontements rangés. Ces évènements ont fait état de plusieurs blessés de
part et d'autres et de 15 arrestations de 15 ouvriers et 2 sympathisants,
tous
sont conduit en détention préventive . Le comité nous informe qu'Ils
passeront en audience devant le jury le 17 mai prochain pour atteinte à
la liberté du travail, coup et blessures contre les forces de la
répression, etc

Parce que le licenciement des 850 ouvriers est une mesure abusive qui
bafoue leur droit de se syndiquer, parce que ce procès intenté à leur
encontre est une imposture au dessous de la vérité, parce que leur
arrestation constitue un véritable déni de justice ! C?est pourquoi nous
demandons aux militants associatifs et politique au Maroc et à l?étranger,
de s?associer avec le CSOS (Comité de Solidarité avec les ouvriers de
SMESI) et faire campagne commune en faveur de la mise en liberté
inconditionnelle des 15 ouvriers et sympathisants détenus et d?exiger de
l?Etat marocain de faire honneur par la pratique de ses engagements
concernant le respects des libertés syndicales et de faire pression sur la
direction de l?OCP pour la réintégration des 850 ouvriers licenciés et la
reconnaissance de leur syndicat.

Instance solidaire : Union Marocaine du Travail, Association Marocaine du
Travail, La Voie démocratique, Confédération General de Trabajo Maghreb ,
CNF-F, Lutte Ouvriere, Solidarité Maroc 05.

Infos utiles :
Coordinateur du Comité CSOS :Ali Fkir alifkir@yahoo. fr

NB :Les 850 ouvriers ont été embauchés dans les années 2001-2002 par la
société Smesi Régie, filiale du groupe Office chérifien des phosphates
(OCP), pour travailler sur le site minier de Boujniba, dans la région de
Khouribga. Au Maroc, l'Office chérifien des phosphates, établissement
public devenu groupe OCP en 1975, puis OCP SA en 2008, détient le monopole
de l'exploitation de ce minerai. Il extrait chaque année 24 millions de
tonnes du sous-sol marocain, ce qui en fait le premier exportateur
mondial, et réalise un chiffre d'affaires annuel d'environ 5 milliards
d'euros, ce qui en fait le plus gros exportateur de phosphate sous toutes
ses formes.

Ecris par khouya mhamed

Journal L.O:sur ouvriers SMESI

Lutte Ouvrière n°2170 du 5 mars 2010
Dans le monde



Maroc - Après le licenciement de 850 salariés, répression à Khouribga
Des dizaines de blessés, dont une quinzaine envoyés à l'hôpital, tel est le bilan de l'intervention des forces de répression contre le sit-in organisé le 25 février à Khouribga, au Maroc, par les mineurs licenciés abusivement par l'Office chérifien des phosphates (OCP). Les autorités avaient déjà fait réprimer sauvagement la marche organisée deux jours plus tôt vers la préfecture de Khouribga.

En fait, le bras de fer entre ces mineurs et l'OCP dure depuis plus de six mois. Cette situation fait suite au licenciement collectif de 850 salariés qui travaillaient à l'exploitation du phosphate dans la région de Khouribga et qui ont voulu constituer un syndicat affilié à l'Union marocaine du travail (UMT) afin de défendre leurs droits.

Ces travailleurs ont été embauchés dans les années 2001-2002 par la société Smesi Régie, filiale du groupe Office chérifien des phosphates (OCP), pour travailler sur le site minier de Boujniba, dans la région de Khouribga. Au Maroc, l'Office chérifien des phosphates, établissement public devenu groupe OCP en 1975, puis OCP SA en 2008, détient le monopole de l'exploitation de ce minerai. Il extrait chaque année 24 millions de tonnes du sous-sol marocain, ce qui en fait le premier exportateur mondial, et réalise un chiffre d'affaires annuel d'environ 5 milliards d'euros, ce qui en fait le plus gros exportateur de phosphate sous toutes ses formes.

Pour parvenir à ces résultats, l'OCP surexploite des milliers de mineurs titularisés, mais aussi des milliers de travailleurs temporaires. Le groupe a également fait appel à des sociétés d'intérim pour l'exécution de certaines tâches.

La majorité des 850 licenciés travaillaient à la production, dans les galeries ou dans la mine à ciel ouvert, mais également comme chaudronniers, mécaniciens d'entretien, conducteurs d'appareils de levage ou de poids lourds, informaticiens ou comptables. Bien qu'ils aient été embauchés par la Société marocaine d'études spéciales et industrielles (Smesi), c'est l'administration de l'OCP qui, durant toutes ces années, était directement responsable de leur affectation et de leurs tâches.

L'été 2008, la direction du groupe OCP avait intégré 883 ouvriers dans une situation similaire, ainsi que d'autres salariés embauchés par diverses filiales, mais elle a refusé sous de faux prétextes d'accorder les mêmes droits aux 850 de la Smesi. La constitution d'un syndicat UMT en mai 2009 a précipité la répression, avec la mise à pied en juillet de 150 ouvriers, dont des membres du syndicat, puis à la généralisation de cette mesure aux 700 autres.

Face à cet arbitraire et à ce mépris des droits et des libertés syndicales, Lutte Ouvrière affirme sa solidarité avec ces travailleurs et s'associe à tous ceux qui dénoncent la répression et réclament la réintégration de tous les licenciés par l'OCP.

Roger MEYNIER

SMESI:procès reporté+pho22 avr et 1mai

Comité de solidarité avec les ouvriers de SMESI (CSOS)
Le procès des 15 détenus (13 ouvriers de SMESI et deux sympathisants) est reporté au 17 mai. Le tribunal a refusé d'accorder aux victimes de la répression la liberté provisoire.
Ci-dessous certaines photos de la répression du jeudi 22 avril 2010, et la participation des victimes de l'OCP au défilé du 1er mai à Khouribga
Le CSOS dénonce la répression
Le Le CSOS exige la libération inconditionnelle des 15 détenus
Le CSOS exige la réintégration des 850 ouvriers licencié abusivement par l'OCP, leur titularisation, le respect de leur choix syndical
LA SOLIDARITÉ NOUS INTERPELLE
Ali Fkir, coordinateur du CSOS
Le champ de bataille: utilisation de bombes lacrymogènes, des tirs en l'air, la matraque...
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Photos du 1er mai
Le camarade Abdellah Housbi, le 1er responsable de l'UMT à Khouribga, s'adressant aux ouvriers.

Paris:solidarité avec ouvriers SMESI (vidéo

Manifestation 1er mai 2010
pour le groupe de Soutien de
-l'Association Marocaine des Droits Humains de Paris-
en soutien aux ouvriers de SMESI

- un an de lutte ?
- un an sans salaire ?
- un an sans une vie décente pour eux et leurs familles।

Ce n'est que solidaires et volontaristes que nous avançons et faisons tomber les pressions qui touchent autant les ouvriers que tous ceux atteints dans leur liberté d'être, d'expression sous quelque forme que ce soit ..........
Les frontières s'effacent lorsque dans une partie du globe existe un ou un groupement d'individus se battant pour ses droits essentiels et les plus élémentaires।


http://tairi54.blogspot.com/2010/05/manif-du-groupe-de-soutien-amdh-paris.html



Bravo sympathisant- es de l'AMDH, ami-es des travailleur/ ses et solidaires des causes justes.

VIVE LA SOLIDARITÉ AVEC LES VICTIMES DE L'ARBITRAIRE

Ali Fkir, coordinateur du CSOS

Paris:solidarité avec prolétaires de SMESI

Vive la solidarité internationale!


تخليدا لليوم الأممي للعمـــــــــال الذي يصـــادف 1 ماي من كل سنة ،وتضامنا مع النضالات البطولية التي يخوضها عمال اسميسي ريجي الموقوفين تعسفا والمطرودين من مقرات عملهم لمايزيد عن عشرة أشهر شاركت مجموعة الدعم للجمعية المغربية لحقوق الانسان بباريس والعديد من المناضلين والمناضلات في احتفالات فاتح ماي، وتعرف من خلالهم بعض النقابات والسياسيين والفاعلين المدنيين عن قضية عمال اسميسي ريجي الموقوفين عن العمل جراء تسريحهم من طرف المكتب الشريف للفوسفاط بالمغرب ، وكــــذا بالمحاكمـــــات الصورية التي يتعرضون لها جورا وعدوانا










Vive la solidarité internationaliste!